photo Exposition

Exposition "Sur les rives du Sénégal"

Exposition

Aix-en-Provence 13090

Du 29/05/2025 au 14/06/2025

« Sur les rives du Sénégal » « Ici le fleuve bienheureux, le fleuve bienheureux qui nous apporte à tous du bonheur… » Des instants de vie d’abord capturés à l’aide d’un objectif, se voient ensuite teintés de couleurs et délivrés par, l’amoureux de l’Afrique qu’est l’artiste visuel Renato BIUNNO. Dans cette exposition qui se déroulera du 29 mai au 14 juin 2025 à Aix en Provence, à la Galerie Chez Cathy, Renato nous prend par la main et nous invite à voir au-delà de ces corps emplis de vitalité. Des villages, des marchés, s’entremêlent au bord du fleuve. Le tout sublimé par des visages derrière lesquels tant d’histoires se sont réfugiées. En s’appuyant notamment sur le « Digital Painting », cette pause haute en couleurs à laquelle nous sommes conviés est une véritable parenthèse inattendue, mettant à contribution nos sens, tout en faisant douter notre perception, en se jouant de notre imaginaire, le tout entre réalité et illusion. Aujourd’hui installé à Aix en Provence, l’artiste italo-français s’est récemment illustré en exposant, en avant-première, sa série « Sur les rives du Sénégal » lors de la 15ème édition de la Biennale de Dak’art off. En sortant de cette[...]

photo Au bois dormant, fantaisie pour une belle qui sommeille

Au bois dormant, fantaisie pour une belle qui sommeille

Spectacle, Lecture - Conte - Poésie

Marseille 13000

Du 04/06/2025 au 14/06/2025

À partir de 4 ans D’après Giambattista, les Frères Grimm, Perrault, Tchaïkovski et d’autres… Sans cesse, il nous faut parvenir à montrer ce dont nous sommes capables. Le succès est une mise à l’épreuve dont nous devons ressortir vainqueurs : il faut réussir pour grandir. Pourtant, dans La Belle au bois dormant, la jeune héroïne devient femme… en dormant. Dormir pour devenir. Sa prouesse à elle, ce sera d’attendre, et même pendant cent ans ! Si tout le monde connaît La Belle au bois dormant, personne ne s’en souvient vraiment, chacun se perd entre les différentes versions de l’histoire, confondant les détails, effaçant les enjeux… C’est dans ces interstices d’oubli que le spectacle creuse, avec ces restes qu’il compose. La mémoire nous manque et le spectacle est comme une déambulation entre les vestiges du conte. Que reste-t-il du récit lorsqu’on ne le raconte pas ? Qu’est-ce qui surgit du conte quand il se tait ? Il ne suffit pas de dire que l’on y voit moins bien la nuit, il faut comprendre pourquoi l’obscurité invite à regarder (et à sentir) autrement. Michaël Foessel